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Le professeur Reda Djidjik, chef de service d’immunologie au CHU de Beni Messous, a indiqué aujourd’hui vendredi, que la situation épidémiologique en Algérie était assez inquiétante, et que les spécialistes s’attendaient à cette vague depuis déjà quelques mois.
Le professeur a assuré dans une interview accordée à radio Sétif, que la réouverture de l’espace aérien n’avait pas de relation directe avec l’augmentation des nombres de cas, grâce au durcissement des mesures préventives adoptées par l’état, ajoutant que certains pouvaient confondre entre un coup de froid contracté suite à une exposition à l’air conditionné , et les signes d’une infection au coronavirus, et que les premiers symptômes poussaient le malade à faire des test afin de s’en assurer.
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