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Le président de l'Agence nationale de sécurité sanitaire Kamel Sanhadji, a avertit sur les conséquences dramatiques que pourrait avoir une éventuelle quatrième vague covid-19, en rappelant que tout les indicateurs font état d'une première phase de celle-ci en cours de déroulement, lors d'un entretien réalisé avec la radio chaîne une, aujourd'hui dimanche, en précisant que le retard de l'arrivée de cette dernière avec la même intensité qu'en Europe est dûe a la vitesse de déplacement du virus, qui prendrait deux mois pour atteindre notre pays selon des études.
Sanhadji a ajouté par ailleurs, que les experts de l'agence de sécurité sanitaire conseillent de prendre les mesures nécessaires rapidement afin d'éradiquer ce virus, pour un retour au plus vite à la vie ordinaire, et soulignent le fait que l'imposition du passeport sanitaire fait partie des mesures les plus importantes dans ce sens, tout particulièrement dans les espaces de rassemblement publics comme les hôpitaux, les universités, les écoles, les salles des fêtes, les stades et les différentes administrations. En répondant à une question autour de l'ampleur estimée de l'onde de choc que pour avoir cette quatrième vague, le professeur a assuré que celle-ci serait relative au taux d'affluence vers la vaccination, avec notamment l'exemple de l'Europe, qui a vue sa moyenne des décès baisser de 90% grâce au taux de vaccination très élevés, selon un rapport établi par des spécialistes.
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